Avril ne te découvre pas d’un fil dit on ….J ai parfois l’impression qu’il ne faudrait jamais se découvrir ni s’exposer. Garder l’armure et ne jamais la quitter, ne pas faire confiance, ne plus croire et rester de marbre.
Pour la première fois en 7 ans j’ai pleuré chez MrmonPsy! Des larmes impossibles à retenir, comme un trop plein, mais pas une délivrance pour autant !! Il a tenté de me rassurer, me dire que mon chagrin, ma colère étaient légitimes. Je ne sais plus quoi penser ! Quelles leçons à tirer de tout cela, de ce nouvel échec ! J’en arrive à me demander si je ne suis pas vide tout simplement ! Creux de l intérieur et sans intérêt. Cette sensation me ronge de l’intérieur, me hante depuis si longtemps à dire vrai, qu’elle m’empêche d’avancer. Je voudrais tant m’en séparer, m’alléger pour toujours de ce poids que je traine comme un boulet invisible et si lourd pourtant. D’où vient-il ? Comment et pourquoi s’est il installé à mes cotés pour ne plus me quitter ? Il me suit comme mon ombre, me hante et m’empêche d’avancer comme je le voudrais. Non, décidement, je ne l aime pas ce boulet, ce poids imaginaire . M'oubliera t il un jour ?
5 commentaires:
Heu c'est plutôt encourageant de se lâcher un peu chez le psy. Tu es vivant mon gars!
Mine de rien tu avances... non pas vers un but mais bien vers toi, vers ce boulet. L'accepter c'est déjà un petit pas de franchi vers soi.
Salut!
J'adore le dessin:
- J'ai l'impression de traîner moi aussi un gros boulet, de peurs, de culpabilités, de mauvaises fidélités...
- Comme je rebute à m'y attaquer, je préfère me dire que, de toutes façons, je ne suis pas si malheureux, pourquoi vouloir vivre sa vie?
Et puis, si on n'a pas tenté, on n'a pas échoué, n'est-ce-pas?
Bises
Je vais pas me lancer dans de la psychologie de comptoir mais : qui est attaché à qui ? Toi au boulet, ou le boulet à toi ?
Allez, plein de forces pour surmonter tout ça. Et comme PascalR l'a dit, c'est plutôt encourageant de se lâcher un peu chez le psy.
hello, je te suis de loin et comme nos trajectoires se calquent - à une différence seulement, je ne crois plus aux psy (mais je comprends qu'ils puissent être d'une grande aide pour d'autres et en particulier pour toi) - comme tout le monde je pleure parfois ... comme toi l'angoisse et la culpabilité me submergent par moment : ai-je bien fait, ai-je le droit, que faut il préserver et surtout Qui ? lorsque je crois avoir des réponses d'autres questions apparaissent .. si seulement je pouvais remplacer tous les ???? par des :-)))))))))))))) - c'est ce que je te souhaite. bises akenaboy
jusqu'à présent, et malgré les affres de la vie, et il y a en eu tant et tant ... je n'ai jamais, non jamais, ressenti le besoin d'aller voir un psy... je ne suis pas contre, loin de là, mais j'ai travaillé dans le milieu, bien longtemps, trop longtemps, pour me dire que ce n'était pas un chemin pour moi ! J'ai rencontré une fois, l'an dernier, à même époque, un an presque jour pour jour, une dame, non une DAME, qui en une seule et unique consultation m'a libéré de tous mes fantômes de la vie... et j'avoue, qu'il y a quelques jours, le 24 (l'article est dans mon blog encore) c'était la première fois que je n'ai pas eu de difficultés à passer cette maudite date, date du décès de mon fils ! Il aurait eu 24 ans ! et des dates, des fantômes aussi, il y en avait tant ! Je pense sincèrement que le Psy n'y serait pas encore parvenu !
Jj
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